Guillaume Léglise
Paris France
Producteur, réalisateur, mixeur, remixeur (notamment pour des artistes des labels (Pan European Recording, Her Majesty’s Ship, Kwaidan, Icy Cold Records, La Tebwa), musicien muti-instrumentiste (au sein du groupe Vox Low), compositeur pour le théâtre (Philippe Calvario, Nicolas Kerszenbaum, Pauline Ribat) ou la danse contemporaine (Marjory Duprès, Aude Lachaise), Guillaume Léglise se
réinvente au gré de ses multiples collaborations en entité pop singulière, au carrefour de toutes ses expériences, comme un prolongement, ou une synthèse, de ses multiples visages.
Son premier véritable album Auto Fictions paraîtra dans quelque mois chez le label La Tebwa.
Sur scène il est accompagné depuis deux ans à la basse et aux choeurs par la charismatique Clémence Lasme qu’on a pu notamment voir sur scène accompagnant Pomme, Moodoïd…
Seul maître à bord de son studio de Belleville, il compose une galerie de portraits, qu’il dévoile peu à peu en EPs aussi sensuels que conceptuels, mariant la musique de club aux mélodies limpides des dandys pop français (Serge Gainsbourg, Alain Chamfort, Philippe Chany), le français lettré à l’ivresse du noctambule, la poésie décadente à la langueur d’une after.
Ses chansons déploient ainsi une riche galerie de personnages, décors, situations, chaque chanson apparaissant comme le nouveau chapitre d’un recueil d’histoires, derrière lesquelles opère le producteur.
Sur EP1, Il mariait les corps désirants à la matière inanimée : caresse érotique sur chrome fuselé
(UFO), rencontre de la peau et du marbre, ou de la cire (Sang Bleu), mariage du coeur des filles aux
sirènes de la ville (Flashback). Entre le Crash de Ballard et la magie noire des trottoirs parisiens (Lady B), ces cinq premières aventures dessinaient, à travers cinq portraits de femmes, celui d’un narrateur quêtant l’amour, aussi baladeur que baladé, dans une ambiance gris-métal, la pluie tombant sur les peaux nues.
Après un EP qui convoquait d’éphémères rencontres amoureuses dans la torpeur urbaine des années 1980 (celles de la new-wave, du Palace et des films noirs de Pialat), Il était revenu avec Riviera EP estival, distillant une moite langueur synthétique, comme une idylle entre la tentation Ibiza de New Order (la basse Peter Hook de Riviera) et l’English Riviera de Metronomy (lustre de la production, dissonances de l’étrangeté), à mi-chemin entre froideur des machines et profondeur des émotions.
réinvente au gré de ses multiples collaborations en entité pop singulière, au carrefour de toutes ses expériences, comme un prolongement, ou une synthèse, de ses multiples visages.
Son premier véritable album Auto Fictions paraîtra dans quelque mois chez le label La Tebwa.
Sur scène il est accompagné depuis deux ans à la basse et aux choeurs par la charismatique Clémence Lasme qu’on a pu notamment voir sur scène accompagnant Pomme, Moodoïd…
Seul maître à bord de son studio de Belleville, il compose une galerie de portraits, qu’il dévoile peu à peu en EPs aussi sensuels que conceptuels, mariant la musique de club aux mélodies limpides des dandys pop français (Serge Gainsbourg, Alain Chamfort, Philippe Chany), le français lettré à l’ivresse du noctambule, la poésie décadente à la langueur d’une after.
Ses chansons déploient ainsi une riche galerie de personnages, décors, situations, chaque chanson apparaissant comme le nouveau chapitre d’un recueil d’histoires, derrière lesquelles opère le producteur.
Sur EP1, Il mariait les corps désirants à la matière inanimée : caresse érotique sur chrome fuselé
(UFO), rencontre de la peau et du marbre, ou de la cire (Sang Bleu), mariage du coeur des filles aux
sirènes de la ville (Flashback). Entre le Crash de Ballard et la magie noire des trottoirs parisiens (Lady B), ces cinq premières aventures dessinaient, à travers cinq portraits de femmes, celui d’un narrateur quêtant l’amour, aussi baladeur que baladé, dans une ambiance gris-métal, la pluie tombant sur les peaux nues.
Après un EP qui convoquait d’éphémères rencontres amoureuses dans la torpeur urbaine des années 1980 (celles de la new-wave, du Palace et des films noirs de Pialat), Il était revenu avec Riviera EP estival, distillant une moite langueur synthétique, comme une idylle entre la tentation Ibiza de New Order (la basse Peter Hook de Riviera) et l’English Riviera de Metronomy (lustre de la production, dissonances de l’étrangeté), à mi-chemin entre froideur des machines et profondeur des émotions.
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