Rencontre avec Yuksek, fondateur du label Partyfine.

Rencontre avec Yuksek, fondateur du label Partyfine.

Dans le cadre du label du mois, Bigwax.iO a eu la chance de rencontrer le fondateur du label Partyfine, Yuksek. On parle de son nouvel album "Nosso Ritmo" et de sa vision de la musique indépendante !

Peux-tu nous décrire Nosso Ritmo en trois mots?

Disco, Brésil et danse !

Qu'est ce qui t'a inspiré pour composer ce nouvel album?

Généralement, ce sont les musiques qu'on écoute, les expériences, les soirées. J'avais vraiment envie de faire un album axé sur la danse. J'avais également envie de faire de la musique avec des gens, ce que je faisais beaucoup moins avant. Du coup l'album réunit beaucoup de collaborations. Sans inclure ma voix mais plutôt celle des autres. Le Brésil m'a également beaucoup influencé sur cet album évidemment et on  retrouve pas mal d'artistes brésiliens sur le disque. 

Quel est le lieu le plus insolite où tu aies mixé?

Je dirais le Palais du Tau à Reims. C'était l'endroit où les futurs rois de France logeaient avant d'être sacrés dans la Cathédrale. Ce lieu est assez improbable. 

L'endroit le plus « party friendly » pour toi?

La « Garçon Sauvage » à Lyon au Sucre. C'est à mon sens une des meilleures soirées en France en ce moment. 

Reims ou Paris? 

Reims parce que j'y vis mais je suis pas antagoniste à Paris non plus. Donc si je devais choisir je dirais Reims. 

Tu peux nous parler un peu de ton label, Partyfine? 

Partyfine c'est un label que j'ai créé il y quelque années maintenant, en 2013. On a pas vraiment de signature à proprement parler. On aime signer des artistes qui nous plaisent. On sort également des compilations d'originaux une fois par an. On a également sortie une compilation d'edits sortie l'année dernière. 

Une anecdote Partyfine? 

Il y a un truc qui fait vraiment partie de mon studio et de mon travail de producteur pour d'autres artistes, c'est l'album que j'ai produit pour "Juveniles" en 2013. On a passé beaucoup de temps sur cet album, j'ai eu une impression de vide au moment où la musique était finie. J'ai trouvé ça un peu frustrant de ne pas pouvoir être acteur depuis la création d'un album jusqu'à sa distribution, c'est finalement cette idée qui m'a donné envie de monter mon label. 

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