VHINZ

Bruxelles Belgique

Nouvel artiste qui rejoint l’écurie Citizen Records / Clivage Music, Vhinz est un producteur basé à Bruxelles. Son éclosion sur la scène électronique a pris le temps et il débarque aujourd’hui avec Belvédère, un premier album à l’univers onirique, d’une belle intensité, entre chansons synthétiques aux contours cinématographiques et envolées électro épiques.
Belge d’origine arménienne, Vincent Honca est un passionné de claviers : le mini synthétiseur sur lequel il joue durant son enfance, le piano classique de ses années de formation à l’Académie de Musique, le synthétiseur Yamaha de son adolescence. Durant les années 2000 de cette adolescence, la musique électronique est omniprésente dans sa vie. Il écoute et admire Daft Punk, Moby, Vitalic, Air ou The Chemical Brothers. Il sort aussi, beaucoup, dans les clubs et les fêtes électro à Bruxelles et dans ses alentours. Féru d’informatique et de technologie, d’ordinateur et de synthétiseurs, il se lance alors dans la production de sa propre musique. « J’avais envie de créer de belles textures avec des synthés. Je voulais m’amuser, découvrir les machines. Je suis autodidacte, en plein dans la génération Internet : je me nourrissais et je m’instruisais en lisant des magazines, en regardant des forums. »
Vincent Honca devient programmeur informatique et décide de faire de la musique en parallèle de manière plus poussée. Dès 2015, il publie ses premiers morceaux dont « Drastical », en duo avec le renommé Kris Menace. Trois titres plutôt deep et house, en direction du dancefloor. « J’étais alors en pleine recherche de mon identité musicale. » Progressivement, la musique de Vincent Honca intègre une autre de ses passions : l’univers cinématographique et la musique de films. « J’ai écouté beaucoup de musiques de films depuis l’adolescence et cela a eu aussi une forte influence sur moi. Je pense en particulier aux musiques de Heat, signée Elliot Goldenthal, Gladiator (Hans Zimmer), Il faut sauver le soldat Ryan (John Williams), La Dernière tentation du Christ (Peter Gabriel), Virgin Suicides (Air), ou encore de Leon (Eric Serra). » Vincent Honca travaille d’ailleurs sur deux films indépendants belges, UltravoKal et Vortex, du réalisateur Christophe Karabache. Il collabore avec Michel Duprez pour signer les bandes-sons de ces deux long-métrages.
Vincent Honca décide par la suite de se baptiser Vhinz et de concilier son expertise des machines et des ordinateurs, sa passion pour les sonorités électroniques qui l’ont marqué durant son adolescence et son adoration pour le cinéma et les bandes originales puissantes et prenantes. Vhinz signe d’abord le morceau « Aether ». Un titre au caractère affirmé, à la voix parlée-chantée qui plonge l’auditeur dans un univers aux thèmes synthétiques ensorcelants et au beat qui bat comme un cœur troublé. Ce titre est le parfait résumé du projet Vhinz. Citizen Records, le seul label approché, est complètement séduit par « Aether » et un projet de maxi est en route. « Puis il y a eu le Covid, le confinement, l’arrêt de tout », se rappelle Vhinz. Pendant ce temps long, ces deux ans de stand-by, le Bruxellois avance sur son projet et dispose maintenant d’un mini-album,
avec huit titres cohérents, passionnants. « J’avais envie d’avoir un concept fort et cela donne cet album que j’ai baptisé Belvédère. Pour ce disque, je me suis imaginé sur un belvédère, avec une vue panoramique sur le monde, et j’ai retranscrit en musique toutes les émotions par lesquelles j’étais traversé. »
Belvédère est un premier album à l’univers onirique, d’une belle intensité, entre chansons synthétiques aux contours cinématographiques et envolées électro épiques. Vhinz y expose ses rêveries, parle, chante et invite d’autres voix : Margot Ferro sur « Le Passage » et « Envole-moi », Michael Meers sur « Evolution ». « Mon album raconte une histoire, dans l’ordre chronologique des titres. Il parle d’espoir, de phases sombres de l’existence, de tristesse, d’amour. » L’album invite ainsi à traverser différentes émotions. L’auditeur est convié à se laisser emporter, à se laisser transporter dans les rêveries de son auteur. Musicalement, le disque pourrait se situer au carrefour des univers de Moby, Vitalic, Air et Serge Gainsbourg. Avec une densité et des atmosphères propres à Vhinz. « Belvédère est un album où je recherche la beauté, avec en même temps un côté plus trouble, plus sale, plus organique. Ce disque, c’est un aboutissement. »

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VHINZ Belvédère Release LP Citizen Records
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VHINZ Belvédère - CD Release CD Citizen Records
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