Uzi Freyja
« Uzi Freyja » se prononce comme on ferait une déclaration d’intention, associant le flow rapide d’une arme (Uzi) à la déesse nordique de l’amour, de la guerre, de la fertilité et du sexe (Freyja).
Affranchie des codes et déterminée, talentueuse et intrépide, Uzi Freyja existe vite et fort !
Lauréate du Prix Chorus des hauts de Seine 2023, elle occupe depuis toujours la scène de façon incandescente. En seulement deux ans, elle a joué dans une série de festivals français et européens (Dour, Francofolies, Vieilles Charrues, Rock en Seine, Eurosonic, Mama Festival, Reperbahn…) Elle elle soulève les foules en mêlant vocaux hip-hop, fureur punk et structures électroniques expérimentales. Son charisme hors du commun est un des atouts frappants de sa musique : Uzi Freyja nous apparaît sûre d’elle et résolument puissante.
Constamment en train de se réinventer, pour son premier album Uzi Freyja prend le parti de raconter son histoire. En anglais ou en français, elle s’adresse à Bhelize, son enfant intérieur qu’elle guide au travers d’un parcours initiatique chargé en émotions.
Ce premier album est par ailleurs l’occasion de s’émanciper et de recomposer une famille artistique à son image. Elle change de label, répond à son désir d’approfondir l’exploration des sons, et collabore avec une nouvelle équipe en studio et à l’image.
Elle réalise son premier album elle-même, avec la complicité de Juxe chez Krumpp, et démontre ainsi l’évolution fascinante et la maturité du son qu’elle met au jour.
On retrouve parmi ses nouvelles collaborations à l’écriture et au chant Yoa, Baby Volcano et Béatrice Dalle.
À la composition, une équipe aussi éclectique qu’audacieuse, à l’image de l’artiste : Juxe (beatmaker pour Nekfeu, Georgio, Coelho), Carbon Killer (figure de la scène cyberpunk / métal), Labo Klandestino (Soso Maness, Zamdane, Lakna), Hook et GR! (Muthoni Drummer Queen), Vapa.
Ses multiples influences (entre rap et musique pop au sens large.) rappellent par endroits Princess Nokia, Little Simz, Leikeli47, ou encore City Morgue.
Avec Bhelize don’t Cry, Uzi Freyja remporte le pari de convoquer en studio l’énergie et la rage qu’elle déploie sur scène et propose une collection de morceaux comme des autoportraits : complexes, étonnants, et galvanisant.
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